L’ancienne et la nouvelle équipe du kap expé se retrouvent pour gravir, sommets, glaciers, arrêtes et bien d’autres choses durant les vacances étudiante de septembre. L’idée est de former des liens fort entre tout les membres du kot dès la rentrée tout en pratiquant ce qui nous rassemble autour de se projet trop cool qu’est le kap expé. C’est aussi une bonne manière de passer le flambeau de l’ancienne vers la nouvelle équipe.
Partir avec 13 jeunes étudiants, qui allaient devenir mes amis, dans les Alpes en septembre, la semaine avant la rentrée des cours… qui ne signerait pas pour y aller ?
C’est la deuxième édition pour le KapExpe de la SME, une semaine d’activités estivales dans les Alpes en Haute Maurienne avec les anciens et les nouvelles recrues kappistes. Un teambuilding extraordinaire avant d’entamer l’année pleine de projets, de découvertes et d’engagements.
Pour ceux qui ne connaissent pas, le KapExpe est un Kot À Projet (d’où l’abréviation Kap) de Louvain La Neuve visant à mettre en avant et rendre accessibles les sports de montagnes et les aventures en pleine nature pour les étudiants. Étroitement lié au Cap Expe, nous proposons des activités sportives, des conférences, des festivals de films d’expéditions et une location de matériel d’escalade à Louvain La Neuve.
Enfin bref, de retour sur notre petite expédition de du 10 au 17 septembre avec les expéditeurs du KapExpe. Nous avons mis le cap sur les Alpes fraçaise, dans la vallée de la Haute Maurienne, commune de Val Cenis au camping qui porte le nom sympathique “Le Laisser Aller” à Sollières.
Les départs se sont faits sur un interval de +/- 24 heures avec des équipes en stop, d’autres en voiture ou encore en blablacar: tous les moyens sont bons pour aller à la montagne ! La seule voiture, dans laquelle nous étions, était chargée à bloc: du matériel d’escalade loué au Cap Expe jusqu’aux dernières poêles, bouffe et jus de fruits everyday, sans oublier nos sacs et nos tentes. En route mauvaise troupe !
Nous nous sommes tous retrouvés le dimanche soir un peu avant minuit au camping, après un voyage qui pour certains, faisait déjà partie du début de l’aventure. Pas de temps à perdre, après avoir monté nos tentes et échangé sur les périples de transports de chacun, nous nous sommes couchés car la journée du lendemain s’annonçait torride !
Jour 1: lundi 11 septembre
Réveil matin 07:00 comme des fleurs (marguerite dans le macadam? non pas vraiment) sur le 1er plateau du camping “Le Laisser Aller”. Hé oui, ce camping a développé une technique ancestrale asiatique pour aménager des zones plates dans un relief vallonné: la culture en terrasse. Enfin, ce sont juste quelques plateaux qui permettent de dormir tranquillement en tente sans se retrouver dans l’Arc (ndlr: l’Arc est la rivière du fond de vallée).
Toute la team est motivée et on ne traine pas pour être rapidement au lieu de rendez-vous à 8h00 à Sollières pour y retrouver notre guide Morgane dans son camion (ndlr: l’équivalent d’une camionnette en Belgique). On rentre à 12 dans son camion de 9 places. La route n’est pas longue jusqu’à l’entrepôt de Up Guides. C’est là qu’on rencontre Clément, aussi connu sous le nom de Clémentard ou Clem, dont la tête semble bien familière pour certains.
Clem est un jeune guide de haute montagne qui connait assez bien le KapExpe. Il nous suit depuis quelques années dans nos périples en Haute Maurienne durant la semaine alpine en février. C’est le frère de Morgane et à eux deux, ils nous guident pour la journée de canyoning d’aujourd’hui.
On prépare les voitures pour se mettre en route direction l’Italie, là où notre rivière limpide et turquoise nous attend. Après un briefing, un essayage de nos belles combis et l’enfilade de nos chaussons semi étanches, on était finalement prêt pour arpenter les sillons de la rivière.
Après un birefing des techniques d’assurances pour les rappels, on se jette à l’eau, froide et claire mais agréable avec nos combinaisons. Le début de la ballade aquatique se passe bien : après un premier rappel d’une dizaine de mètre qui abouti dans une belle piscine, on avance en cumulant sauts, parfois périlleux, rappels et longements de parois rocheuses. Quand c’est nécessaire et rop engagé, on sort de l’eau mais y retourne assez rapidement en s’engouffrant dans des tunels naturels entres les roches ou en emruntant des toboggans sensationnels.
L’équipe suit merveilleusement bien le rythme et ne grogne pas face aux obstacles prononcés que les guides nous proposent de franchir. Un obstacle représente selon le langage des guides un passage qui ralentit la progression dans le canyon et qui peut se traverser par rappel, tooboggan, sauts ou petite spéléo. Un obstacle qui m’a marqué et que je me dois de coucher sur ce petit carnet a été celui qui a apporté le plus de sensations à l’entiereté du groupe sans hésitations. On venait de passer une longueur de rappel puis un petit saut qui nous permettait de rejoindre Clem au bord d’un précipice prononcé. Comme d’habitude, il nous dit de son air rassurant: “Ça va aller? Il suffit de faire comme pour un toboggan en repliant le menton… Tu peux y aller quand tu veux !”
À ce moment là je ne comprends pas encore très bien comment la chute se profile mais je me lance après avoir écouté les conseils du guide. La glissade du tobogan est plutot rapide pour se retrouver dans le vide pendant ¼ de secondes, se décrochant de la paroi avant de toucher l’eau. Dès ma réception dans la piscine, je m’exclame devant Ced: “Pétard c’est incroyable ce truc, il faut le refaire!”
On a continué notre avancée dans le canyon pour y sortir un peu avant 15h00 et prendre notre lunch au bord de l’eau dans un petit village italien charmant. Un beau figuier nous a fait rapidement de l’oeil et les baguettes françaises au fromage ont été aggrémentées de ces délicieux fruits avec un supplément miel, oui monsieur !
Après une petite route retour vers Sollières où l’ambiance du camion était à la sieste et discussions avec Morgane, on s’est retrouvé au camping où une partie du groupe a été faire des petites courses pendant qu’une autre team a été courir pour découvrir les environs. Le soir, on s’est posé autour d’une table en discuttant du planning du lendemain avec une bonne bière à la main. Les vacances de l’Expé venaient de commencer !
Jour 2: mardi 12 septembre
Doux réveil à 7h30 à la lueur du jour. Depuis nos tentes, on entend un fond musical d’une chanson qui deviendra probablement la musique de la semaine: La Goffa Lolita, une chanson de La Petite Culotte.
Pour les deux jours suivants, on s’est séparé en deux équipes pour deux activités bien différentes: un trek de 2 jours dans les alentours du Mont Cenis à 4 personnes et une marche glacière à 8 personnes et deux guides.
Deux écrivains se partagent donc la plume pour écrire le récit de leurs aventures.
Équipe glacier
Ced, Sash, Claratje, Just, Oli, Laurette, Strida, Man pour l’expé, Clem et Sylvain pour Up-Guides.
On est parti avec nos sacs à dos (mega lourds) pour 2h30 de rando jusqu’à un refuge il faisait super beau et tout le monde avait hâte d’installer le bivouac.
Une fois en haut on a : coupé du bois pour faire un feu, commencé à monter les tente, filtré l’eau de la rivière et préparé à manger.
Au menu: un mélange de saucisson pesto pomme de terre lyophilisée poudre de lait et fromage (pas si succulent que ça mais on avait tellement faim qu’on a pas fait les difficiles).
On a joué à un jeu de dés pour savoir qui de nous 8 allait devoir se réveiller à 3h45 pour préparé le poridge du lendemain matin. C’est évidement Oli qui a perdu et qui a puni toute sa tente le lendemain matin. On est parti de nuit avec nos frontales sur le glacier. Heureusement qu’il faisait noir parce que si on avait vu le dénivelé on aurait sûrement été découragé.
Une fois arrivé au glacier on a appris à marcher avec des crampons et on a commencé l’ascension du glacier. Manon est tombée dans une crevasse remplie d’eau…Les filles sont restées avec elle au soleil en regardant les garçons finir l’ascension.
Après ça on a fait des mouflages pour sauver les copines des crevasses qui ne savaient pas remonter avec les piolets. On est ensuite revenu à l’endroit du bivouac et il a commencé à pleuvoir. On s’est dépêché de redescendre la montagne pour raconter à nos copains de l’équipe trek ce qu’il s’était passé.
Équipe trek
Amé, Toon, Sésé et Gus
Départ en stop depuis Sollières L’Endroit vers Bramans, village de passage d’Hannibal, de son armée et sa trentaine d’élephants vers l’Italie. On monte à bonne allure, en s’arrêtant pour observer ou récolter ce que la nature a à nous offrir: papillon apollon, framboises,… ou encore pour lire les panneaux contant l’hypothétique mais célèbre histoire du passage des armées d’Hannibal lors de la 2e guerre punique (218-202 av. J.-C.).
Après notre pause du midi où la vue enmène notre imaginaire dans un univers fantanstique, nous reprenons la route vers le col Clapier et l’Italie. On traverse un troupeau de belles vaches qui pâturent paisiblement et on se baigne dans un torrent froid aux dernières lueurs du soleil de la journée.
Le paysage change et adopte un aspect plus minéral que végétal au fur et à mesure de notre avancée. Notre objectif est d’atteindre le bivouac Hannibal à 2477m, une cabane non gardée à la frontière franco-italienne. Il se laisse découvrir sous une brûme légère, alimentant l’excitation de découvrir ce lieu où on s’apprète à passer la nuit. Le bivouac, qui s’apparente plus à un projet d’un jeune architecte diplômé qu’à une cabane de chasseur, est assez récent et ouvre ses portes toute l’année. Il y’a 8 couchettes avec une mezzanine, de l’électricité sur panneaux solaires et deux belles tables au centre de la pièce. La cabane est ouverte toute l’année et offre, depuis ses verrières, des vues splendides sur la montagne.
En fin d’après midi, après avoir déposé nos affaires au bivouac et salué les 4 autres occupants, des randonneurs italiens, je suis parti avec Toon, grand fanatique de trail, faire une sortie avant la tombée de la nuit.
Seuls au monde, on dévale et arpente les petits sentiers de randonnée autour du bivouac. La sensation de liberté est indescriptible. Je nous vois encore, voler de nos pas légers sur les cailloux, à flant de montagne avec une vue imprenable sur l’Italie. On aperçoit Turin de loin.
Mais on remarque rapidement que l’on n’est pas les seuls à bénéficier du calme régnant sur ces chemins escarpés. Toon me fait un signe de la main. On s’arrête doucement. Ils sont juste là devant nous. Peut-être à moins de 100 mètres. Quatre imposants bouquetins. À mes yeux ce sont de puissants béliers, lourds mais lents, règnant sur les vallées alpines depuis de longues générations. L’Homme à côté d’eux est intru et peu adapté.
Ils nous sentent rapidement mais continuent leur balade nutritive. On a le temps de s’approcher jusqu’à plus ou moins 50 mètres d’eux. Leurs silhouettes se détachent du paysage grâce au flux de brouillard qui traverse la vallée. Ce spectacle magnifique se traduit sur nos visages par des expressions que ferait tout enfant à la vue de son premier jouet d’anniversaire.
Jour 3: mercredi 13 septembre
On se lève à l’aube avec tout les compagnons du bivouac Hannibal, en ayant convaincu la veille les italiens de nous accompagner sur une rando matinale pour observer le soleil sortir de son lit de nuage. Malheureusement pour nous, le drap de lit de Monsieur Soleil lui tenait si chaud qu’il a eu du mal à y sortir. Une panne de réveil ça arrive à tout le monde.
Cette météo peu clémente nous invite donc à rester dans le bivouac un peu plus longtemps que prévu et de petit déjeuner tranquillement avant de se mettre en route.
On arrive au refuge Vaccarone (Rifugio Luigi Vaccarone sì, sì, signore!) vers 8h30. Le soleil commence à montrer le bout de son nez et transperce la fine couche de nuage qui lui servait d’édredon avec ses faisceaux lumineux tranchants. On observe au loin des chamois qui, plus craintifs que les bouquetins de la veille, détallent très rapidement après nous avoir vu.
En flanc de falaise, on croit voir des bouquetins. On rejoint le précipice en profitant du brouillard pour les approcher discrètement. Depuis nos positions, on observe 4 beaux bouquetins qui semblent se réveiller eux aussi d’une nuit paisible et reposante. On reste devant ce spectacle gratuit pendant plus d’une demi-heure. Ils paraissent peu effrayés par notre présence. Probablement à l’heure de leur routine matinale, on se fait tout petit du haut de nos rochers en les regardant se faire leur toilette avant d’entamer leur journée de grosses chèvres montagnardes.
Les chemins vers le Col de L’Agnel sont caillouteux, on marche sur une moraine glacière et on retourne en France. La descente du col mène au ruisseau d’Ambin avec une très belle vue sur les Dents D’Embin, muraille abrupte qui nous fait penser qu’on devrait se regarder pour la énieme fois la Trilogie de Seigneur des Anneaux. C’est malheureusement sous cette montagne qu’ils envisagent de creuser le creuser le tunnel de la nouvelle liaison de train transalpine reliant Lyon à Turin…
On prend notre lunch au bord du ruisseau couleur azur avec les moutons d’un berger sur la rive d’en face. Les patous du troupeau nous regardent d’un coin de l’oeil. La route retour est pluvieuse et on est content d’arriver au camping avant 18h00 et retrouver l’équipe glacier pour écouter activement leur périple. C’est gai de se retrouver autour d’une table, à partager un repas et des bonnes bières entre amis. Je sens que nos activités respectives ont eu la même action d’un soudeur sur deux bouts métalliques. On se sent liés par nos aventures vécues.
Jour 4: jeudi 14 septembre
C’est déjà l’avant dernier jour et aujourd’hui, on fait une activité groupée ! À seulement quelques kilomètres de notre camping, on s’expérimente à la via ferrata du Diable, dans les contrebas du fort Victor Emmanuel, un des cinq forts de l’Esseillon. La via ferrata du Diable est composée de 7 tronçons qui peuvent être fait un à un ou en boucle.
En guise d’apéritif, on s’essaye d’abord sur la Traversée des Anges (4a, 4b) au départ du belvédère de la redoute Marie-Thérèse. Ensuite, on passe le pont du Diable pour faire La Montée au Ciel qui mène au fort Victor-Emmanuel. Elle culmine à 200m de la rivière Arc, avec le soleil de l’Est qui vient nous caresser le dos. Face à la paroi, on se sent libre et à la fois rassuré d’être accroché aux cables des tronçons. Un baudrier, une longe avec absorbeur de choc avec deux mousquetons (grande ouverture et verrouillage automatique) et un casque sont le matériel minimum obligatoire avant de s’engager dans les parcours.
Le lunch du midi est bien mérité, il nous requinque avant d’entamer les deux derniers tronçons de la journée. On commence La Descente aux Enfers avec l’impressionnante passerelle des Enfers qui relie les deux faces rocheuses que le lit de la rivière a creusé. J’y aperçois un tichodrome à échelette, un magnifique oiseau noir teinté de rouge qui arpente les faces rocheuses. Un sourire se dessine sur mon visage. C’est la première fois que j’observe cet oiseau qui me rappelle un livre d’enfance. Nous suivons ensuite la paroi qui nous mène à la cascade du Nant. L’ascencion un peu plus athlétique se fait de temps en temps en dévers. L’humidité de la chute d’eau nous rafraichi les mollets. Le spectacle est magnifique !
Nous terminons la journée autour du poele dans le cabanon du propriétaire du camping. Notre guide Clémentard forme l’équipe du lendemain à ce qu’on a appellé la course d’arêtes. L’autre partie du groupe part sur une séance de grimpe en falaise.
Jour 5: vendredi 15 septembre
Mon groupe part de bonne heure direction Bellecombe, on passe le Lac du Mont Cenis pour redescendre vers Les Rivets, et commencer notre marche d’approche à la ferme de Mestralet. Il est 10h00. Après deux petites heures de marche, on arrive sur les longueurs de la voie.
On est 4 dans le groupe: Amé, Clara, Brioche et moi. Le guide nous explique la technique de marche le long d’une arète encordé avec 2 cordées. L’itinéraire est sur 10 longueurs, avec quelques unes soutenues en 6a et 6a+. Chaque membre de l’équipe prend la tête de la cordée plusieurs fois sur la journée. On se relaye après avoir consommé toutes nos dégaines accrochées sur les relais environ tous les 10-15m. Les petites passerelles sur lesquelles nous nous nous arrêtons sont parsemées d’edelweiss.
On avance correctement le long de Bellecombe avec un temps froid qui se réchauffe petit à petit. Les baguettes du midi sont dévorées devant le Planay et une vue splendide vers l’Italie. On termine sur la pointe de Bellecombe à 2795m d’altitude vers 16h00. Quelle satisfaction de se retrouver au sommet, un peu brumeux mais la vue vaut la peine !
On se retrouve avec le groupe en fin d’après midi pour raconter nos aventures de la journée. Les grimpeurs semblent s’être amusés sous la supervision bienveillante de Sélim, boss de l’escalade ! On prépare doucement nos affaires, on fait nos sacs et passons une dernière petite nuit au camping. Demain c’est le grand départ vers la Belgique, la rentrée scolaire approche à trop grand pas.
Jour 6: samedi 16 septembre
Une partie du groupe a complété deux voitures, une autre rentre en train. Il reste deux jeunes gaillards qui iront en stop. C’est nous, Cédric et moi et à vrai dire ça nous plait bien. Encore un peu d’aventure avant la fin du voyage, c’est pas de refus !
On se lève à l’aube pour espérer bénéficier de conducteurs aimables rentrants vers la Belgique. En stop, on ne maitrise pas les éléments et c’est ce qu’on apprécie. En bas du camping de Sollières à 7h24, on arrive à avoir une première voiture qui nous mène à Modane à 8h42. C’est là qu’on pense à fabriquer un petit panneau en carton avec les villes par lesquelles on aimerait passer, après avoir déguster pour la dernière fois des bonnes viennoiseries locales.
Après 4 autres voitures et des échanges intéressants, notamment après avoir fait connaissance avec une dame qui aurait fondé la fédération autrichienne de pétanque, on arrive à 11h30 à une pompe à essence un peu avant Chambérry. Et c’est là que la chance nous souris : une camionnette belge avec un couple bruxellois de la cinquantaine rentrent de leur séjour dans le Jura. Ils nous acceptent sans trop de difficulté pour le covoiturage jusqu’à notre petit pays. On arrive à Bruxelles vers 19h00, à quelques heures d’écart de la première voiture de notre groupe partie au matin depuis Sollières. On s’en sort plutôt bien !
Conclusion
Comment conclure ce genre de petite semaine d’aventure avec le KapExpe? Sous forme d’un haiku peut-être? Vous me direz: un haiku, kesako?
Un haiku c’est un poème d’origine japonaise étonnamment bref qui célèbre l’évanescence des choses et les sensations qu’elles suscitent.
Montagne d’été,
Compagnons d’aventure,
Émerveillement pur.
Merci pour tout les ami.e.s !
Gus pour le KapExpé