Là-bas, le silence s’impose, total. Il suffit de s’éloigner de quelques centaines de mètres de la station Princess Elisabeth pour être virtuellement seul face à la glace qui mène à l’océan Arctique ou selon l’humeur, rêvasser devant un des cirques montagneux de Dronning Maud Land.
Après c’est la calotte polaire qui commence, un autre monde, celui du froid intense et du vent qui vous plaque au sol.
Là-bas, le silence s’impose, total. Il suffit de s’éloigner de quelques centaines de mètres de la station Princess Elisabeth pour être virtuellement seul face à la glace qui mène à l’océan Arctique ou selon l’humeur, rêvasser devant un des cirques montagneux de Dronning Maud Land.
Après c’est la calotte polaire qui commence, un autre monde, celui du froid intense et du vent qui vous plaque au sol.