Nous sommes 6-7 à partir fêter le nouvel an et même un peu plus sous tente dans les Fagnes-Eiffel.

Départ le 31 décembre après midi.

Dom

Récit

Tout a commencé sur les chapeaux de roues. Dorsan et moi avons fait des courses inoubliables au Delhaize le jeudi soir.
Le vendredi après une journée de travail chez un Denali bien calme j’ai donné le coup de départ bien mérité. Pour une fois j’étais même à temps.

Nous sommes passés prendre Amédée et son cousin Jean-Seb à Namur et nous voilà tous à Jalhay pour un partage des courses et un réquilibrage des sacs. Bon ok je suis en faute mais bon que voulez-vous: je me suis très vite rendu compte que j’avais oublié les steaks pour notre reveillon et les crevettes pour le WOK de la seconde nuits. Pas de panique Tanguy a réorganiser le tout en deux coups de cuillères à pot et nous voilà en train de marché sous la pluie à 20h. La tente se monte à 21 h et là commence le réveillon le plus original de l’année: deux papis et 4 ados sous la pluie.
Les deux bouteilles de cidre ont explosé bien avant minuit et le dessert (mousse au chocolat blanc, couli de franboise et galettes aux amandes restera gravé dans les annales de Capexpe. Nous n’en dirons pas autant su spaga bolognaise qui tentait de remplacer les steak au poivre…

La pluie a vite redoublé de vigeur et nous nous sommes retrouvés dans nos tentes respectives. Qu’est-ce que cela fait du bien de partir avec de nouvelles têtes vierges de toute pollution « matos ». C’est qu’ils refusaient de dormir dans une tente orange hollandais nos petits gars. Greg t’en aurait pas cru les oreilles. Ils ne savaient même pas ce que North Fesse voulait dire … Pire même, l’un deux ayant été fouiné sur ce site est tombé sur la vidéo du NI a tout naturellement déclaré que NI pour lui venait de N’Importe quoi. Ne riez pas mais le lendemain je recevais un SMS de réclamation d’Inde dans lequel David (l’inventeur de ce mot: NI vient de NIckel.) me souhaitait plein de choses mais surtout me racontait qu’il courait après un éléphant. Non monsieur il n’était pas rose. David d’ailleurs ne boit jamais d’alcool et nous ne sommes même pas venu au bout du cidre.

Bref le lendemain nous sommes repartis après une grasse mat que Jean-Seb réclamait à grand cris sous les coups de butoir de Amédée et surtout de Dorsan alors que Lorentz prenait tout la place. Dans notre tente nous étions plus sage mais l’eau elle coulait de partout.

C’est magnifique les fagnes. Nous n’avons vu que deux groupes pendant tout ce périple.
Ce fut magique !

Yes la relève de Capexpe est assurée et vous n’avez qu’à bien vous tenir car ils sont redoutables au « président », enfin le jeu de carte.

Merci à vous cinq pour cette petite sortie inoubliable.
Qu’est ce que cela fait du bien de camper simplement sans courrir au cent mille diables et de malgré tout voir ces étincelles dans les regards.

Dom