L’objectif de notre expédition est de proposer une autre vision de la performance dans le sport outdoor. La notion actuelle souffre de paradoxes dérangeants. Les amoureux de l’Outdoor sont souvent prêts à rejeter des quantités importantes de C02 dans l’atmosphère et à mettre leur intégrité physique en jeux pour parvenir à réaliser ce fameux “quelque chose qui n’a pas encore été fait”. Cette obsession de l’inconnue aboutit inévitablement à l’image de l’idiot qui scie la branche sur laquelle il est assis. En recherchant la performance, on finit par détruire son objet et rendre l’accomplissement complètement vide de sens.

Avec mon frère, nous avons donc décidé de tenter de réinventer la notion de performance, en diminuant notre empreinte carbone et le niveau d’engagement des courses. Nous avons décider de mesurer la qualité de notre aventure à la beauté du tracé emprunté, à la créativité recherchée dans nos moyens de déplacements, la qualité de la gestion du risque et de ses paramètres, à la richesse des rencontres que nous effectuerons sur le parcours. La performance dans le respect de notre environnement ne serait elle pas finalement la mesure de notre capacité à réinventer la découverte harmonieuse d’un monde connu ?

Concrètement, l’idée de l’expédition est de relier au cours des mois de mars et avril les sommets emblématique de plus de 4000 en France, en Suisse et en Italie. Sur la montagne, nous glisserons sur nos skis. Dans la vallée, nous roulerons sur notre tandem. Nous établirons notre camp de base à proximité de Grenoble début mars et nous tiendront prêt à la première fenêtre météo. Dans lors ensuite nous rejoindrons le Grand Paradis, le Hintere Fisherhorn et le Mont-Blanc et nous tenterons leur ascension avant de rentrer vers Grenoble à la mi-avril. Ride on !

L’objectif de notre expédition est de proposer une autre vision de la performance dans le sport outdoor. La notion actuelle souffre de paradoxes dérangeants. Les amoureux de l’Outdoor sont souvent prêts à rejeter des quantités importantes de C02 dans l’atmosphère et à mettre leur intégrité physique en jeux pour parvenir à réaliser ce fameux “quelque chose qui n’a pas encore été fait”. Cette obsession de l’inconnu à tout prix aboutit inévitablement à l’image de l’idiot qui scie la branche sur laquelle il est assis. La réalisation du projet aboutit à la détérioration de l’environnement dans lequel celui-ci se réalise. Pour mon frère et moi, dans le contexte que nous connaissons, cette approche de l’aventure commence peu à peu à perdre son sens.

Nous avons donc décidé de tenter de réinventer la notion de performance, en diminuant notre empreinte carbone et le niveau d’engagement des courses. Nous avons décider de mesurer la qualité de notre aventure à la beauté du tracé emprunté, à la créativité recherchée dans nos moyens de déplacements, la qualité de la gestion du risque et de ses paramètres, à la richesse des rencontres que nous effectuerons sur le parcours. La performance dans le respect de notre environnement ne serait elle pas finalement la mesure de notre capacité à réinventer la découverte harmonieuse d’un monde connu ?

Concrètement, l’idée de l’expédition est de relier au cours des mois de mars et avril les sommets emblématique de plus de 4000 en France, en Suisse et en Italie. Sur la montagne, nous glisserons sur nos skis. Dans la vallée, nous roulerons sur notre tandem. Nous établirons notre camp de base à proximité de Grenoble début mars et nous tiendront prêt à la première fenêtre météo. Dans lors ensuite nous rejoindrons le Grand Paradis, le Hintere Fisherhorn et le Mont-Blanc et nous tenterons leur ascension avant de rentrer vers Grenoble à la mi-avril. Ride on !