Nous Sommes partis de Bruxelles mercredi soir aux environs de 18h30. Dominique (mon frère) à peine de retour du boulot, et moi à peine de retour de Liège, on embarque, et direction E411. On était attendus à Libramont chez les frères de Saint Jean (chez qui mon frère et ma belle-soeur sont Obla) pour le souper. Déja la-bas la neige était au rendez-vous. Ensuite, d’une traite, nous avons fait le trajet jusque Martigny ou nous avons terminé la nuit chez les beau-parent de mon frere. C’est quand même mieux de dormir dans un vrai lit !!!

Le lendemain, on ne perd pas son temps, un petit détour par la boulangerie pour les croissants, et par le marchant d’articles d’alpinisme pour les cartes. Nous voila parti pour le col du Simplon. On arrive à 12h à l’Hospice. Impeccable, juste pour l’heure du repas. A peine arrivé on nous offre déja un petit verre du vin du valais. Cool, ils sont acceuillants ici.
Après le bon repas, nous voila sur les skis pour une 1iere journée de ski. En direction du Bishorn, on entamme la montée. Hélas, tous les gens nous avaient dis d’éviter de monter dans le couloir qui montait au Bishorn car il est fort raide et exposé aux avalanche. Et comme pour moi c’est la 1iere fois que je met les pieds sur des skis de rando, on s’arrete à l’entrée du couloir. Et on est parti pour la 1iere décente. Superbe, mais j’avoue qu’il m’a fallu un peu de temps pour comprendre comment gerer la haute neige. En d’autre termes, j’ai passé plus de temps le cul dans la neige que sur mes skis, mais c’est pas grave, on arrive à l’Hospice pour ce réchauffer avec un bon vin chaud.
Cet hospice est vraiment un hotel 5 étoiles. Douche dans la chambre, lits superconfort, bouffe délicieuse, cadre superbe, prix super abordable, … Et dire que y’avait un groupe d’une 70aine de jeunes suisse qui étaient en retraite à l’Hospice !!! Moi je veux bien avoir des retraites comme ca =D

Vendredi matin, petit dej à 8h, départ 9h30 (oui, on est cool, on est pas la pour se crever) en direction du Spitzhorn. Un montée assez variée. Par endroit, la neige est complettement soufflée et on devinne quelques touffes d’herbe dépasser de la neige. A d’autres endroit, la neige est bien compacte. On arrive finalement au sommet ou on dévore le bon pique-nique qu’on nous avait préparé à l’hospice. (en plus c’est vachement copieu) avec un décor absolument superbe. Une vue sur toutes les alpes valaisannes. En partant du Bishorn jusqu’à la Dent d’Hérens. Absolument superbe. (cfr photos)
La décente dans le même cadre, avec quelques belle gamelles qui sont imortalisée dans la caméra (je ferais un petit montage).
Ce soir dans le réfectoire ca parle météo. En effet, on ne sait pas trop à quoi s’attendre pour la météo de samedi, donc on doit faire plusieurs alternatives en fonction du temps qu’il fera. On décide d’aller faire du ski de piste si vraiment il fait trop mauvais, mais sinon, on décend à Molsheim (un peu avant le Simplon sur la route) pour remonter en direction du Bishorn par un coté qui nous permet de monter plus haut, et de déscendre plus bas que le 1ier jour.

Finalement, levé le matin, sans précipitation. Le temps est gris, mais le brouillard n’est pas si dense que ca. On voit à plus de 100m et on devine le soleil par moment entre les nuages. On part pour l’option ski de rando. Départ en voiture.
On monte d’abord dans les nuages, puis on arrive au dessus des nuages. Superbe vue sur la vallée du Rhone. Portée par la vue, on arrive plus vite que prévu au sommet des traces. Ensuite ca devient un peu trop engagé pour notre niveau, la neige est trop verglacée et les skis glissent. On s’arrete pour prendre notre pique nique.
Ensuite, d’abord décente dans une combe bien enneigée, puis on se lance dans la foret de mélaises, mais on doit piquer un macimum à gauche pour pouvoir rejoindre la voiture. Et voila qu’on se retrouve nez à nez à des falaises: Tant pis, on devra rejoindre la route plus bas pour pouvoir rejoindre la voiture. Cette décente dans les mélaises est vraiment pas évidente. d’abord parce qu’il faut éviter les arbres, ensuite parce que la neige est super lourde et cartonnée. Je vous raconte pas la difficulté pour tourner. Il fallait vraiment y mettre toute son énergie pour pivoter dans le saut. Autant vous dire tout de suite qu’on est sorti de la foret plus blanc que blanc …
Finalement, on décide de rejoindre Martigny ou on avait prévenu les beau-parents qu’on passerais la dernière nuit.
En passant dans la vallée, on s’arrete vite dans un magasin de sport pour y acheter des maillots, et un peu plus loin on est allé se relaxer aux sources chaudes des Bains de Saillon (Entre Sion et Martigny). Le pied total après une bonne journée de ski.

Dimanche, journée calme. On passe le diner à Martigny, et à 13h nous voila parti avec les 2 filles de Dominique en direction de la Belgique qui avaient passée 2 semaine chez leur grand parents.