Weekend “Après Expé” les 29 et 30 septembre
Ce que nous recherchons, c’est l’après.
Après expe, après voyage, après vécu, après rencontre, après internalisation, après avoir reçu, … Si nous pensons que c’est un enjeu, c’est parce que sans cela, l’expe, le voyage, la rencontre, finalement n’est « que » de la consommation : Recevoir, payer pour, se fatiguer pour, aller chercher, prendre, sont des appropriations, …
Si elles ne mènent pas à rendu, un partage, une réflexion, un enrichissement, les expés ne mènent qu’à elles mêmes, elles ne sont plus un chemin mais une destination, donc rien.
Nous voulons que les expés, aussi celles des autres, dépassent ce stade, … Cela nous semble essentiel, Pourquoi le voulons nous ? Pour que les expés participent au « changer le monde » … Nous pensons qu’il y a un agir sur le monde à travers cela. Et que cet agir est essentiel. Que c’est celui là qu’il faut renforcer aujourd’hui.
Bien, sûr dès le départ c’est là, Quand Dom lance un truc comme capexpé, c’est déjà pour un « changer le monde ». Pour que les expe change les gens, les jeunes en particulier, les participants, pour qu’ils soient changés, et différents et à travers cela leur agir sur le monde.
Alors, quoi de plus aujourd’hui ?
Le sentiment que le changement, acquis au niveau de l’individu doit se transmettre formellement comme contenu, pas seulement diffuser par l’individu rendu différent. Mais prendre une forme qui fasse de ce changement un changement de monde,
Nous ressentons cet “après” comme insuffisant aujourd’hui, insuffisamment partagé. Vous voulons, le renforcer le faire avancer,
Cela nous semble une évidence qui devrait attirer les foules. Mais le non-succès de ce désir affiché interpelle : Qu’est-ce que nous voulons, qui n’est pas passé, et pourquoi ?
Pourquoi n’est-ce pas passé ?
et / ou
Pourquoi n’est-ce pas juste pour les autres, comme cela l’est pour nous ?
Donc je me dis que peut-être, on peut donner deux moitiés au week-end
Une première (samedi ?) :
- C’est quoi notre envie de cet « après » ?
- Essayer de la comprendre, de l’apprivoiser, …D’en décrire les contours mais aussi, surtout, d’entrer dedans en profondeur
- Une manière de faire serait peut être de montrer nos « après » à chacun : textes, vidéos, photos, dessins, POM, …
- d’en parler de les analyser, critiquer, comprendre ce que c’est que cet objet étrange, décortiquer son sens, ses difficultés, ce qui freine te ce qui porte
- Et dégager de tt ces échanges et réflexions directes et sans far des éléments, constantes ou divergences, limites, contraintes, …
- Pas seulement le sens de l’après, mais aussi ses limites, …
- Définir les contours et le coeur de ce que nous voulons, pas seulement comme une envie confuse, mais comme un acte identifié et identifiable
Une seconde (dimanche ? )
- essayer de rassembler tt cela et le placer devant la question : comment généraliser ? comment convaincre les autres ? Au non de quoi ? qu’est-ce qui bloque ? Ou est la sortie ?
VOIL0U juste comment les choses ont tourné ds ma tête ces derniers jours …
A prendre, casser ou jeter,
Biz
Geoffroy DE S.